Freitag, 11. März 2011

Zuerst muss ich Ihnen sagen, dass von allen meinen Werken meine Frau keine Zeile gelesen hat. Das Reich des Geistes hat kein Dasein für sie, für die Haushaltung ist sie geschaffen. Hier überhebt sie mich aller Sorgen, hier lebt und webt sie; es ist ihr Königreich.
Lorsque je l’ai suivi pendant quelque temps effleurant tous les sujets et se maintenant toujours à des hauteurs inaccessibles, mon intelligence me refuse tout service et le sentiment de mon infériorité m’écrase. Je me rends compte que c’est l’effet qu’il recherche et qui le flatte le plus. Un même jour il est venu quatre fois: dans la matinée pour m’aider dans la copie que je fais de sa carte des hauteurs, ensuite pour me rendre le journal le journal de notre internement qu’il avait demandé à lire, puis pour nous apporter des verres de couleur relatifs à son travail; enfin, dans la soirée, pour s’excuser de ne pouvoir venir souper.
Den folgenden Tag fuhr Goethe mit mir nach Jena, wo wir bis zum 18. Dezember inclusive blieben, und erklärte sich im Gespräch mit mir über Bettine nicht eben als leidenschaftlicher Liebhaber, sondern nur als Bewunderer ihres geistreichen, aber auch barocken Wesens.